(Désolé pour cette unique poste, mais il était utile.)
Kaya venait tout juste depuis même pas un mois entier d'être fait Genin. Elle avait revêtit le kimono des Hishida, inutilisé depuis 50 ans. Avait pris en sa possession l'arme favorite de sa grand-mère, un baton de bambou puissant. Et par dessus tout, mit la joie dans sa famille.
Elle décida de dire un dernier au revoir à ses professeurs de l'académie. Même si elle croiserait bien l'un deux dans les rues de Kiri, elle y tenait.
Kaya aimait ses profs. Elle était certe la chouchoute, oui, mais comme, elle le répétait : c'était parce qu'elle travaillait certainement bien mieux que le retse des aspirants (pas arogantes celle-là XD).
Après avoir passé une bonne heure avec ses enseignants, après la fin des cours. Elle sortit de l'académie par un long couloir, qu'elle avait tant parcouru au temps passé. Kaya pénétra dehors par la porte principal.
En face de l'académie, se trouvait un arbre gigantesque, ou une balançoire était accrochée (ça rapellera certainement quelque chose à certain). Elle courra jusqu'à cette balançoire, comme elle avait l'habitude de le faire quand elle n'était qu'une apprentie ninja.
A cette heure, aucun enfant n'était là. La brûme et le brouillard avait recouvert tout le village. Kaya était seul.
Un froid glacial enveloppa l'air, la jeune fille avait l'habitude. Son kimono blanc lui suffisait, elle n'avait pas froid, bien qu'elle soit habillé léger.
Elle s'élança une dizaine de fois à l'aide de ses deux pieds. Au bout d'une dizaine de minutes, elle s'arrêta et descenda de la balançoire.
Kaya rejoint la route à paine visible. Elle suivit la route jusqu'à arrivé à une centaine de mètre de l'entrée de l'académie.
Les derniers élèves collés, sortaient accompagnés de leur surveillants.
Kaya n'avait jamais eu ce malheur. Tel, un si bon élève.
Elle pouvait etre fier. Elle était Genin. Allait bientôt passait l'examen Chunin. Et c'est à ce moment-là, qu'elle pourrait partir en quète de son père.
Elle le retrouverai ...
*Je te retrouverai ...*
Elle reprit sa marche, jusqu'à arrivée devant sa maison elle entra.